Témoignages et expériences
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Voici des témoignages d'élèves qui sont une confirmation de la dimension profondément spirituelle du Reiki, dont le point culminant est celui de Christophe qui a franchi les portes de la non-dualité suite à son stage de Premier degré !
À
un moment donné, nous avons fait un exercice pour le traitement à
distance. Je me rappelle que le visage d'un de mes amis, âgé
de 84 ans, et que je n'avais pas vu depuis quelques temps, m'était
apparu dans mes pensées. J'avais le sentiment que ça n'allait
pas très bien pour lui. J'ai dit à Robert, par la suite, qu'un
de mes amis, Marcel, devait certainement être très mal en point.
Il devait effectivement décéder quelques jours après
notre week-end spirituel.
Ce qui m'a étonné dans cet événement, c'est de
sentir à quel point, lors de notre pratique Reiki, les distances parfois
semblent ne plus exister. J'avais le sentiment qu'il était tout
à côté de moi. Je crois que la pratique Reiki ouvre
bien des "portes" et permet une meilleure "connexion"
entre les êtres et l'ÊTRE. Il ne peut en être autrement
puisqu'au fond tout n'est que fondamentalement UN et vient de l'UN. Plus nous
"communions" avec Reiki, plus l'Unité originelle coule
en nous... et plus elle nous fait sentir et vivre cette Unité
formidable qui nous lie tous les uns aux autres jusqu'aux frontières
de l'Absolu, là où, dit-on, la Lumière un jour devait
naître sans Source...
Le Reiki nous montre également à quel point l'Absolu
n'est peut être pas, au fond, si éloigné que nous le
pensions. Cela me fait penser à ce que me disait l'un de
mes amis qui est décédé, il y a quelques années
à l'âge de 94 ans. Son nom de plume était "Ouden"
ce qui signifie en grec ancien "Rien".
Le Reiki, malgré nos imperfections et notre condition matérielle, nous
permet cet expérience du Divin. Il abolit les "distances",
du moins celles que nous croyons être, et nous permet une communion
aux réservoirs inépuisables de l'Absolu.
Comme tu le dis si bien, il nous faut devenir Reiki. Or devenir Reiki c'est,
comme le disait Usui, devenir Dieu ou Bouddha. Il n'y a plus de distance,
c'est la véritable communion ou chacun peut puiser et faire sienne
l'Amour, la Sagesse et la toute Puissance de l'Absolu. C'est comme si Dieu,
par amour, ne voulait plus être Dieu... et souhaitait tout simplement
que l'on devienne Lui.
Jean
Mon
deuxième niveau de Reiki a été fabuleux pour moi. J'ai
fait l’expérience pendant quelques secondes de ce qu'était
vraiment le Reiki. Et cela a changé mon regard sur la vie. Comment
dire... Comment te l'expliquer...
Je me suis unie pendant un instant à cette énergie d'amour,
à cette force, je ne sais pas très bien comment la décrire...
Peut-être dois-je tout simplement la nommer Dieu. Désormais je
me rends compte à quel point j’étais dans l'erreur quand
je Le cherchais, quand je L'implorais de m'aider, quand je Le priais de me
répondre car, sans le savoir, je renforçais encore cette idée
qu'Il se trouvait je ne sais où, ailleurs qu'ici, et séparé
de moi. Je sais maintenant que je suis Lui, que je suis cette énergie
d'amour, cette force, et que je suis aussi cette énergie que l'on appelle
le Reiki. Les choses sont tellement plus simples.
À présent, tout me semble parfait. Je ne cherche plus, je ne
désire plus, je n'aspire plus à... J'écoute simplement
ce que la vie a à me dire, je la vis et je vois combien elle est riche.
Je me sens bien, très bien. Je me sens sereine. Je suis heureuse.
Et dire que je ne souhaitais pas pratiquer le Reiki, je fais mon auto-traitement
tous les matins, et pour la première fois je pose mes mains sur les
autres, avec succès d'ailleurs. Je profite de tous les moments de tranquillité
pour méditer et vivre mon Dieu intérieur, pour être au
plus proche de ce que je suis, de cet amour, de cette énergie de vie.
Je ne sais pas si c'est cela être sur un chemin d'éveil
mais en tout cas cela m'apporte une vraie sérénité. Cette
expérience a changé ma façon de penser. Mes croyances,
mes idées sont différentes et cela transforme profondément mes
émotions.
Isabelle
Voici
un petit témoignage sur un des points qui m'a marqué dans la
retraite du week-end dernier et qui a beaucoup refait surface tout au long
de cette semaine :
J'ai beaucoup apprécié l'échange de regards à
chaque initiation.
Déjà, c'est indéniable que tu as un regard profond, qui
respire (et inspire) la bonté, la sagesse, la sérénité,
bref l'amour en général (le genre de regard que j'ai personnellement
rarement croisé dans ma vie), et qui apporte vraiment un plus pour
notre "condition" présente au moment de l'initiation.
Mais cela prend un sens encore bien plus profond quand on met cet échange
de regards dans la perspective, l'enseignement, la lumière du fait
de porter un regard sur soi-même, et au-delà, de la non-dualité.
Comme tu le disais durant la retraite, ton regard devient alors notre regard,
le propre reflet de nous-mêmes, et la dualité, ce qui faisait
le "moi" et "l'autre" s'estompe, se dilue...
C'est ce que j'ai eu la chance de percevoir lors de la dernière initiation
: en plongeant dans ton regard empli d'amour, qui est devenu mon regard, notre
regard, je me suis brièvement senti baigné dans un océan
d'amour, puissant et sans limite.
Maintenant je vis chaque jour avec ton regard dans un coin de ma tête,
pour me rappeler que c'était aussi mon regard, et que c'est, au-delà,
tout ce qui a été, est et sera. Et cela m'emplit d'une force
et d'une sérénité que j'ai rarement connues.
Alors merci pour cela, et sûrement pour bien d'autres choses qui n'ont
pas encore germé...
Renaud
J'ai fait un soin Reiki à ma voisine il y a trois semaines car elle rentrait en dépression depuis quelques jours. C'est une dépression qu'elle connait bien car elle apparaît tous les ans, à l'automne. J'ai senti que le soin était très "dense" ou intense. Suite au soin, elle a passé une nuit avec un sommeil de plomb et, le lendemain, elle avait retrouvé le sourire alors qu'elle ne faisait que pleurer depuis plusieurs jours.
Je lui ai refait un soin le lendemain car j'ai senti que c'était utile et depuis, tout va bien, alors que d'habitude ça dure pendant la période d'hiver. J'ai même eu les remerciements de soulagement de son mari !
À
chaque fois, je suis étonné par les "miracles" du
Reiki.
Merci à toi d'en avoir été le transmetteur.
Vincent
Sur les conseils d’un ami, une jeune femme me contacte pour un soin. Elle
n’a jamais reçu de Reiki. Sa maladie déjà avancée
laisse présager, suite à des résultats médicaux
inquiétants, un problème important au niveau du foie.
Si elle ne croit pas en un dieu comme elle dit, elle sent que, quelque part,
une grande Force veille sur elle et sait que cet appel n’est pas dû
au hasard.
Abattue par une forte fièvre qui l’empêche de sortir, notre
rencontre ne peut se faire ; je lui propose un soin à distance
qu’elle accepte sans hésitation.
Pour la première fois, je ne peux entrer dans ce soin ! Mon corps
et mon esprit entièrement figés me troublent. Je ressens un grand
barrage… un froid glacial m’envahit et me met très mal à
l’aise. Je suis pourtant dans mon salon où il fait 20° !
Alors que j’accepte l’idée que ça puisse ne pas être
« le bon jour », la vision surprenante d’un corps
malade sans visage et d’un mot en lettres majuscules attirent mon attention…
Le mot « MARLÈNE » apparaît et disparaît
sans cesse ! Le corps lui, ne bouge pas… dans le même temps
une sorte d’amnésie s’empare de moi ! Où suis-je ?
Que suis-je en train de faire ? Que veut dire ce mot ?
Incapable de me souvenir qu’il s’agit du prénom que m’a
indiqué la jeune femme, ce mot démuni de sens, m’est totalement
étranger ! Le Reiki, mes prières, rien ne me fait revenir !
Consciente malgré tout de ce qui se passe je ne laisse pas place à
l’inquiétude et ne cesse de prier.
Au moment même où je remets « le corps en souffrance »
et non « MARLÈNE » entre les mains de Dieu, mon
être tout entier semble se libérer et mes pensées redeviennent
claires… Glacée jusqu’aux os, je m’octroie un temps
de repos !
Un peu plus tard, comme convenu, je prends connaissance du ressenti de Marlène :
_« Depuis plus de trois mois, je ne dors plus sans somnifères
ni neuroleptiques !
Et pendant le soin, c’est incroyable, j’ai dormi profondément
pendant trente minutes, dans une chaleur douillette qui m’enveloppait,
tel un cocon. »
En l’écoutant, je la sens sereine, sa voix semble plus jeune, plus
gaie.
_ « trois mois de souffrance continue et plus une douleur durant
toute la séance ! »
Elle est surprise et heureuse de ce qu’elle vient de vivre…
Tout d’abord hésitante, je décide de partager mon vécu…
sa grande ouverture me surprend.
_ « Marlène, que pouvez-vous dire de votre prénom ? »
_ « Marlène n’est pas mon prénom !
À ma naissance j’ai été déclarée
«Marie Hélène », prénoms de mes deux
grand-mères, et à l’âge de « 4 heures »
ma mère m’a prise dans ses bras et m’a appelée Marlène…
Depuis la famille de mon père m’appelle Marie Hélène,
celle de ma mère Marlène… »
_ « Aimez-vous votre prénom MARIE HELENE ? »
_ « oui ! Je me sens bien avec ; je le trouve très
joli, je le préfère à Marlène. »
_ « Il est très beau c’est vrai et il contient
le nom de la Vierge Marie (échange de rires) ! »
_ « Vous savez, je ne crois pas réellement en Dieu
mais je crois fortement en la Vierge Marie… »
Me faisant confiance, je m’entends dire…
_ « Connaissez-vous la chapelle miraculeuse, Rue du Bac, à
Paris ? »…
Ensemble nous concluons qu’il serait bon que Marlène reporte son prénom
et se fasse appeler MARIE HELENE par tout son entourage…ce qu’elle
a fait depuis… !
Aujourd’hui, Marie Hélène qui habite en banlieue éloignée,
vient sur Paris accompagnée d’un ami pour se rendre « Rue
du bac » ! et envisage, quand ses moyens physiques le lui permettront,
d’aller rendre une petite visite à notre Dame de Lourdes !
En attendant, depuis ce soin Marie Hélène tient un journal sur
son évolution, sur les changements qui surviennent dans son quotidien,
le retour d’un moral plein d’espoir malgré les résultats
toujours inquiétants de ses examens... Réel constat que l’Amour
ne fuit pas les gens malades et que l’isolement n’est pas la solution.
Cette expérience, pour moi unique, m’a beaucoup touchée
et ne croyant pas non plus au hasard, il m’est venu l’idée,
avec son accord bien sûr, de déployer autour de Marie Hélène
une chaîne de solidarité de personnes qui accepteraient de lui
offrir des soins à distance, afin de l’aider à traverser
les deux prochaines semaines où, sans traitement encore approprié,
la douleur risque d’être sa compagne de route jusqu’au rendez-vous
crucial avec le corps médical qui décidera de son cas.
Totalement convaincue aujourd’hui de la force d’un groupe, je suis
heureuse de montrer à Marie Hélène, que je ne connais pas
encore, que la solidarité de cœur existe et que nous ne sommes jamais
seuls quand, quelque part, il y a quelqu’un qui pense à nous.
Merci de la joindre à vos pratiques, à vos prières et vos
pensées…
Merci de tout cœur d’avoir pris le temps de lire ce témoignage.
A bientôt dans l’amitié du Reiki.
Jo
Je
souhaite te faire part d'une expérience de Reiki.
Samedi, je regardais par la fenêtre de mon appartement quand j'ai vu
une vieille dame avec son panier à provisions à roulette. J'ai
remarqué qu'elle faisait 2 pas et s'arrêtait ; encore 2 pas,
nouvel arrêt, et ainsi de suite. Elle faisait rouler son caddy devant
elle, comme pour s'y appuyer.
J'ai un instant songé à aller l'aider; mais le temps que je
passe mon manteau, les chaussures, que je descende de mon étage, que
je contourne les bâtiments pour arriver jusqu'à la rue, elle
aurait peut-être disparu. Très rapidement j'ai décidé
de lui envoyer du Reiki par les yeux, n'étant pas trop sûre de
moi car je ne l'avais pas encore expérimenté depuis notre stage
en décembre.
Rapidement gasshô, en me centrant bien. Puis je lui ai donné
du Reiki, elle était arrêtée. Au bout de quelques instants,
elle est repartie. Un premier pas, 2, puis 3, 4, elle ne s'est pas arrêtée
! Et cette fois, elle tirait son caddy.
Je l'ai suivie des yeux jusqu'à ce que le coin du bâtiment la
cache.
J'étais très heureuse que le Reiki ait donné un regain
d'énergie à cette dame âgée. Et très émue
aussi...
Voilà une première expérience de ce que tu nous a appris.
Claude
Je t'écris car j'ai eu plusieurs expériences avec le Reiki.
Je ne sais pas aujourd'hui si cela fait partie du Reiki ou autre mais peu
importe, je vais te décrire ce que j'ai ressenti depuis quelques mois
et surtout aujourd'hui.
Lorsque je fais du Reiki sur une personne proche, je ressens de manière
très forte physiquement tout ce que la personne a en elle. Il m'est arrivé
de pleurer sur certaines parties du corps de la personne, et je ressens également
l'énergie qui passe à travers moi mais d'une manière très
puissante avec une sensation que cette énergie comprime tous mes organes
internes.
Cela est juste un constat de ce que je ressens.
Par contre l'expérience d'aujourd'hui, lors du traitement d'une amie,
est allé un peu plus loin.
Cette amie souffre depuis un an et demi d'une tendinite au bras droit. J'ai
donc posé mes mains où je le sentais, c'est à dire au départ
sur sa nuque et sur le rond de l'épaule.
Au bout de quelques minutes j'ai eu ce que j'appelle une "vision",
ce n'est pas réellement une vision mais plutôt une phrase ou une
idée qui est revenue à plusieurs reprises et c'était :
"il y a une femme morte". Puis je me suis mise à pleurer.
Une fois les larmes évacuées, j'ai senti le besoin de souffler
sur cette épaule, ce que j'ai fait plusieurs fois, jusqu'à la
sensation que c'était suffisant. Il a ensuite fallu que je descende le
long du bras comme pour évacuer cette chose au bout de ses doigts et
enfin la faire sortir.
Mais là également une autre "vision" est apparue le
long du bras disant : "une femme folle", puis "ce bras est
mort"
Sans m'arrêter sur ces "visions" mais juste en accueillant
ce que je voyais, j'ai continué le traitement en faisant ce que je
ressentais être juste pour la guérison, et je suis allée
jusqu'au bout des doigts.
J'ai l'impression que ce que j'ai "vu" est la cause de cette tendinite,
et que cette personne porte en elle cela.
Je te
contacte à nouveau pour te donner la suite de l'expérience vécue
sur la personne qui a une tendinite au bras.
Ce week-end j'ai encore posé mes mains sur cette amie et j'ai senti
des choses encore plus profondes et plus intenses.
Par contre, ne t'inquiète pas pour moi, je te fais juste partager ce
que j'ai ressenti ; à aucun moment je n'intègre cela en moi.
Je constate juste.
J'ai reposé mes mains sur son bras, et pour la deuxième fois,
j'ai senti que ce n'était pas le bras qu'il fallait traiter, mais qu'il
fallait que j'aille chercher la cause dans le dos. J'ai donc posé mes
mains en partant du haut du dos.
Au milieu du dos j'ai encore "vu" la femme folle à qui un
homme avait serré très, très fort le bras. Sur le coup
j'étais cette femme car je sentais sa folie dans ma tête, et
également qu'elle avait un problème à l'oeil gauche.
Cette femme a subi un viol, j'ai pleuré très fort, un très
gros chagrin qui avait besoin de sortir, ces pleurs étaient accompagnés
d'un mal à l'estomac et des spasmes comme des vomissements, et un étranglement
de la gorge comme si c'était difficile à exprimer oralement
pour cette femme.
Une fois calmée, j'ai posé les mains sur le bas du dos où
là, par contre, j'ai senti un bien-être, un très grand
calme et un grand silence. J'ai alors eu l'impression de m'endormir comme
un bébé. J'ai senti être un bébé dans le
ventre de sa mère, à l'abri, au chaud.
Puis, j'ai commencé à me sentir agressée par l'extérieur,
par les gens qui étaient dehors.
Mots qui me sont venus alors : "ils m'attaquent" ; "il
y a trop de bruit" ; "ils m'agressent" ; "laissez-moi
tranquille" ; "trop de gens" ; "ils sont fous" ;
"laissez moi là, je suis bien".
Puis j'ai senti qu'il fallait que ce bébé sorte, que ce n'était
pas sa place.
J'ai alors mis mon doigt sur le sacrum de mon amie et j'ai poussé pour
faire sortir ce bébé, en disant "il faut qu'il sorte",
"il doit sortir", "ce n'est pas sa place".
Une fois la sensation qu'il était sorti, j'ai frotté très
fort et vigoureusement tout le dos de mon amie, comme pour réchauffer
le bébé qui venait de sortir. Cela m'a fait penser aux reportages
télé où les animaux qui viennent de naître sont
frottés avec de la paille pour les réchauffer.
Petite anecdote : mon amie m'a avoué que sa mère avait subie
une césarienne, car elle ne voulait pas sortir. Les médecins
avaient demandé à sa mère de faire beaucoup de voiture
durant 4 jours pour tenter de provoquer l'accouchement mais rien n'y a fait,
d'où la césarienne en dernier recours. Avec un bébé
bleu à la naissance, il était juste temps de le faire sortir.
Voilà mes quelques peripéties du Reiki.
Mais je n'ai toujours pas soulagé la tendinite de mon amie. J'ai senti
avoir remis la vie dans son bras (le haut), puis j'ai eu quelques difficultés
de l'avant-bras au poignet, mais j'y suis quand même parvenue. Mais
lorsque j'y suis revenue quelques minutes plus tard, il n'y avait déjà
plus rien.
Un mot m'est alors venu : "auto-sabotage" de la part de cette amie.
J'en ai conclu que j'allais avoir du travail sur cette personne et que c'était
loin d'être terminé.
Comme quoi, ce qu'on croit être une simple tendinite... !
Après cette anecdote je vais quand même te donner mes sensations
au cours de ces traitements.
Je ressens d'une manière très puissante toutes les sensations.
Je souffre physiquement. Par exemple, il m'arrive de ne plus pouvoir bouger
ma main tellement, sur certains points, elle a été tétanisée
par le froid ou l'absence de circulation sanguine.
Rassure-toi, je retrouve son usage rapidement
Par contre, les deux personnes sur qui j'ai fait du Reiki sentent peu ou pas
d'émotions, et juste quelques sensations physiques (chaleur, vibration,
froid...).
Ce n'est pas elles qui pleurent, ou qui se sentent mal, mais moi !
Je crois qu'à travers moi elles expriment leur tréfonds car,
en plus, ces deux personnes sont des rocs qui n'expriment jamais rien à
l'extérieur.
J'espère que le fait de passer par mon corps libère ces gens
de toutes leurs angoisses, peines et autres...
Sandrine
Durant
un stage de perfectionnement de Reiki (Deuxième degré/seconde
partie - okuden koki), nous apprenions les soins par le regard et nous nous
préparions à effectuer un exercice entre stagiaires. Ma voisine
m’informe avoir un grave problème au foie qui doit se traduire
par une intervention chirurgicale deux semaines plus tard. Elle me demande
d’appliquer sur elle l’exercice, ce que j’exécute
durant 1/4 d’heure. Le lendemain matin, à la reprise du cours,
elle m’annonce qu’elle a rendu de la bile une bonne partie de
la nuit et qu’elle n’a presque pas dormi. Elle est fatiguée
et n’a pas bonne mine mais elle a conscience que les soins vont être
salutaires.
Quelques temps après le stage, elle m’appelle pour me dire que
son opération est annulée. Le chirurgien ne comprend pas, son
foie est tout à fait normal, et elle n’en souffre plus. Cela
se passait il y a cinq ans et la situation est stable.
Je rentre le matin d’un déplacement en voiture et ma voisine vient me trouver pour son mari Jean Noël. Ce dernier, en bricolant la veille, s’est laissé tombé une grosse plaque d’égout d’une vingtaine de kilos sur le pied. Il est allé à l’hôpital, a passé des radios et il n'est constaté aucune fracture mais un écrasement d’os qui le fait souffrir. Il est couché et ne peut se déplacer qu’avec des béquilles. Je le soigne de suite, il semble rapidement soulagé. Après le déjeuner, il part s’allonger pour faire la sieste. Sa femme vient me dire qu’il s’est déplacé en oubliant ses béquilles. Après la sieste, à la surprise de tous, il a enfilé ses bottes et il est parti à la pêche, comme si de rien n’était.
Fin octobre
2000, un accident grave se produit à Paris lors de la mise en service
réseau de chauffage vapeur de la ville. Huit agents se trouvent dans
une enceinte à 35 mètres sous terre lorsque la rupture d’une
vanne survient. Quatre agents meurent brûlés sur place par la vapeur
à haute température. Quatre autres gravement brûlés
réussissent à sortir en montant les 35 mètres qui les éloignent
de la surface en empruntant une échelle à crinoline. Les 4 accidentés
sont dirigés sur l’hôpital Percy spécialisé
pour soins aux grands brûlés.
On me demande trois jours après l’accident de soigner Pierre,
la personne la plus atteinte. Pierre se trouve dans une chambre stérile,
dans le coma, il est brûlé au 3ème degré sur plusieurs
parties du corps. Je le soigne à distance, évidemment il ignore
mes actions. Par sa femme et un de ses amis, je suis informé de l’évolution
de l’état de santé de Pierre. Rapidement, il sort du coma,
puis de la chambre stérile après que des greffes de peau soient
pratiquées. Il ne souffre pas et les cicatrisations sont rapides. Il
m’appelle au téléphone peu avant Noël, il est de
retour chez lui. Il reste peu de traces des brûlures et part chez un
kinésithérapeute faire de la rééducation. En mars,
il est allé dans un établissement spécialisé,
les traumatismes psychologiques doivent être traités et je l’accompagne
de mes soins. Par comparaison, les 3 autres brûlés, moins gravement
touchés, ont quitté l’hôpital en mars.
Jeune homme de 20 ans, Sylvain m’informe qu’on lui a découvert un an auparavant un début de sclérose en plaques (résultats d’analyses et symptômes). Il travaille à mi-temps et a des périodes perturbées. Je le soigne à distance durant un an à raison de 4 jours par semaine, avec quelques interruptions. Un an après, il m’informe qu’il n’a plus de sclérose en plaques, résultats démontrés par analyses, et disparition de symptômes. Il a repris le travail, à plein temps. Durant les deux années de maladie avérée, les médecins n’avaient prescrit aucun médicament du fait que cette maladie évolue par paliers de gravité. Ils voulaient attendre le niveau supérieur afin de bien doser la médication adaptée. Etant seul à le soigner, je pense que sa guérison est due au Reiki.
Plusieurs personnes soignées dans ces conditions pour soulager leurs souffrances m’ont beaucoup ému. Les informations qu’elles me donnaient après des soins précédant le décès étaient toujours du genre : « Je vous remercie de vos soins car ils m’ont apporté la sérénité et je me sens bien ».
Michel
À
l’occasion d’un soin, j’ai compris, ressenti même,
pourquoi il est important pour moi de « toucher » physiquement
la personne, de poser mes mains en contact direct avec son corps. La vision
qui m’est apparue, c’est qu’à travers mes mains,
la lumière du Reiki venait « féconder » la matière
dans chaque cellule de l’être qui recevait le soin.
C’est un mariage alchimique, une rencontre subtile entre le ciel et
la terre, entre le divin et l’incarné, entre le « réalisé»
et le potentiel, entre la conscience et l’oubli…
En pénétrant au plus profond de l’être, dans chaque
cellule vivante, la lumière (le soleil) va déposer sa semence,
fertiliser le corps (la terre) et faire naître des graines diverses
: graines de conscience, de compréhension, d’amour, de compassion,
de guérison, d’éveil… Parfois, c’est notre
part d’ombre qui va émerger ; un travail de « nettoyage
» des mauvaises herbes va alors s’opérer et purifier le
sol afin que la lumière pénètre davantage et fasse jaillir
des profondeurs les germes d’une plante majestueuse, celle qu’on
ne soupçonne pas et qui pourtant a toujours été là.
Comme après une longue période d’hibernation, la lumière
agit comme le printemps qui réchauffe et fait rejaillir la vie endormie.
C’est un moyen extrêmement habile pour « spiritualiser »
le monde, redonner naissance à l’être
en le reliant à son essence…
Dans la médecine traditionnelle chinoise, on dit que « l’homme
est un pont entre ciel et terre ». L’expérience du Reiki
me permet d’être ce pont, ce lien entre deux dimensions avec amour,
humilité et reconnaissance pour ces particules de vie qui jaillissent
de mes mains dès que je les appelle…
J'ai l'occasion d'aider actuellement deux personnes en difficulté, en pratiquant le Reiki à distance, avec des résultats qui m'épatent et m'intriguent. L'une retrouve une sensation de bien-être et un meilleur sommeil dès la première séance. Puis, après la série de 4 séances sur quatre jours, après la 5ème séance, une semaine après, elle éteint la lumière à 9h 45 et s'endort sans somnifère, ce qui ne lui était pas arrivé depuis 20 ans !
L'autre avait l'épaule paralysée par la douleur d'une tendinite au point de ne pouvoir utiliser le bras. Le lendemain de la première séance à distance, elle récupère l'usage de son bras de manière ''spectaculaire'', selon son expression.
Daniel
Hier,
j'ai procédé à une séance de Reiki sur le chat
abyssin de ma sœur qui souffre de diarrhée sévère
depuis 10 jours. Antibiotiques, cortisone... rien ne le soulage (je ne ferai
pas de commentaire sur la lourdeur de ce traitement...) ce petit être
est mal en point et vraiment, son état est difficile à supporter
et sa souffrance le rend super agressif...
La séance a eu l'avantage de le calmer instantanément. Il s'est
comme " abandonné" dans mes mains. Ce que j'ai trouvé
de curieux, lorsque j'ai commencé à poser mes mains sur son
ventre, c'est qu'avec sa patte arrière, il a littéralement conduit
ma main jusqu'au bas ventre, endroit où j'ai ressenti longuement une
brûlure sur la paume de ma main! Vous nous aviez parlé des chats
pendant le week-end, en effet j'ai pu constater qu'ils sont hyper-réceptifs
à l'énergie qui les entoure et les traverse !
Je n'ai pas encore de nouvelles de son état aujourd'hui, je n'attends
rien de particulier, je sais qu'il était apaisé lors de la séance
et qu'il dormait profondément lorsque je l'ai quitté. C'est
déjà super de lui avoir procuré cet instant de répit
!
Voilà pour ma première séance Reiki réalisée
sur un autre que moi !
J'espère que mon récit vous aura intéressé quelque
peu !
Magali
© Reikido/Patrice Gros