Le Reiki n'est qu'une prolongation de cette conscience
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Voici
un autre témoignage inédit d'un de mes élèves
que nous appellerons Christophe, ne souhaitant pas être identifié
(il fait totalement écho à celui
de mon amie Nicole). Christophe a, suite à son premier degré,
basculé dans cette dimension non-duelle que nous évoquons
parfois dans mes retraites. N'est-ce
pas Usui lui-même qui souhaitait qu'à travers son enseignement
tous les êtres parviennent un jour au "satori", à ce
qu'il appelait "la grande paix du coeur" ? Nous prenons ici conscience
que cela est possible pour chacun d'entre nous et que la pratique du Reiki
est aussi vivante que ce qu'elle était du temps du fondateur.
Comme me le disait Christophe : « Je n'ai pas envie de donner
le sentiment de pavoiser sur ce qui m'est arrivé (en fait, aujourd'hui,
je m'en moque un peu). Mais j'ai surtout écrit, comme tu l'as souhaité,
pour rendre vraiment honneur au Reiki et à ce qu'il a déclenché
chez moi (et certainement chez beaucoup d'autres). Et encore plus pour rassurer
certaines personnes, comme moi, qui peuvent se retrouver face à de
telles expériences sans y être préparées. C'est
là le but principal. On peut être relié au tout, et avoir
aussi l'impression d'une forte solitude. Encore un paradoxe de plus. »
Je ressens qu'effectivement, et encore plus après avoir lu le témoignage
de Christophe (et les nombreuses discussions que nous avons eues), qu'il est
important pour tous les praticiens Reiki que nous sommes. Tout comme Nicole,
il me dit encore : « Tu peux tout prendre. Ce texte t'est
offert. Ce n'est pas moi qui te l'offre, d'ailleurs... C'est autre chose en
moi qui l'a écrit. Fais-en bon usage. »
Voici donc ce que Christophe a vécu :
« Tout a basculé à la suite d'un premier stage de Reiki...
Veuillez retrouver l'intégralité de ce témoignage (et bien d'autres encore) dans mon ouvrage "L'essence sacré du Reiki", publié aux Éditions Grancher.